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17/02/2011

Pourquoi j'écris un billet par mois

Pour donner quelques éléments de réponse à monsieur l'Amibe sur ce point, je vais me contenter de citer ce que dit ActuSF de mes projets actuels. :)

(en ajoutant quelques précisions tout de même) : http://www.actusf.com/forum/viewtopic.php?t=13202

Les romans 

Je suis en plein dans l'écriture d'un roman de fantasy pour adultes, dans un univers proche de l'Europe où les cathares ont résisté à la croisade et fondé un royaume indépendant. Un petit groupe de captifs français s'échappe et doit traverser le pays. Si si, c'est de la fantasy : il y a de la magie aussi.

J'envoie la semaine prochaine un nouveau manuscrit tout chaud pour Mnémos. Pour ceux qui ont suivi ce blog depuis longtemps, il s'agit de Le jour où tous les adultes se sont endormis. A l'origine, c'était un roman pour "adolescents et jeunes adultes" mais un gros éditeur jeunesse m'a invité à le rencontrer dans son bureau parisien pour m'expliquer que ça lui plaisait bien mais que vu la loi de 49 sur les publications destinées à la jeunesse, il ne pouvait pas le prendre...
Ce sera donc un roman pour les adultes puisque, eux, on a le droit de les "démoraliser", muahaha (art 2 de la loi du 16 juillet 1949 : "les publications visées à l'article 1er ne doivent comporter aucun récit (...) de nature à démoraliser l'enfance ou la jeunesse (...)"
Ce n'est pas de la fantasy, pas vraiment de la science fiction, quelque chose comme de l'anticipation, ou du fantastique, ou une "dystopie", puisqu'il semble que ce soit le terme consacré. 

Les nouvelles

Un texte à paraître dans l'antho des Imaginales sur le thème "Bourreaux et victimes", dans le même univers que "La Pucelle".

Et en prévision d'ici la fin de l'année, un texte pour enfants pour "Chaudron magazine" (Milan Presse).

Les dédicaces et les rencontres 

4 au 6 mars : Zone Franche (Bagneux). Dédicace et une conférence sur "l'aide aux jeune auteurs : le collectif CoCyclics".

Le samedi 12 mars : dédicace et conférence sur les littératures de l'imaginaire à Niort, librairie des Halles, avec Hélène Ramdani de Mnémos.

Le dimanche 6 à 15h 18-20 mars : Le Salon du Livre de Paris. Dédicaces pour la nocturne vendredi soir, le samedi après midi et le dimanche matin.

23 et 24 avril : Trolls et légendes à Mons.

14 et 15 mai : Les Futuriales à Aulnay sous bois.

26-29 mai Les Imaginales à Epinal.

25/01/2011

Pourquoi faut-il écrire un roman par an ?

Mesdames et messieurs les gens qui lisent ce blog, je vais vous dire quelques petites choses que l'on entend une fois passé de l'autre côté de la barrière. 

Contrairement à ce que l'on pense avant d'avoir trouvé un éditeur, une fois publié, le rideau rouge ne redescend pas sur l'écran de cinéma devant les trois petites lettres du mot "FIN". Pas du tout. En fait, c'est exactement le contraire : les lumières de la salle s'éteignent enfin (depuis le temps qu'on attendait ça) et l'histoire commence. Et attention ! Il y a des histoires qui finissent mal.

Qu'est-ce que c'est, "finir mal", quand on écrit ? Je ne sais pas exactement et j'espère ne jamais le savoir. Je suppose que la combinaison "mauvaises critiques" + "mauvaises ventes" en donnera déjà une vague idée. Mais tout cela, ce ne sont finalement que des symptômes de la pire fin qui puisse vous arriver : finir mal, c'est être oublié, autrement dit, disparaître.

Brrr, j'en ai des frissons.

Que faut-il faire pour échapper à cet horrible sort ? Eh bien, vous pouvez écrire un best-seller du premier coup. Ce serait même une vachement bonne idée. Vous pouvez gagner des prix littéraires, ce serait plutôt malin de votre part. Mais si vous avez loupé le coche, il vous reste la voie "normale" : vous devez publier à peu près un bouquin par an, si possible à peu près dans le même créneau.

Après un an, les gens se souviennent encore vaguement de vous : vous pouvez en profiter pour sortir un second roman. Après cela, le gong de l'oubli aura sonné. Eh oui, ils ont la mémoire courte, les gens, mais à leur décharge, ce ne sont pas les auteurs ni les nouveautés qui manquent...

Personnellement, ça tombe bien, j'ai le cerveau qui fume à force d'avoir des idées et j'ai commencé à écrire un nouveau roman de fantasy. Je vous en parlerai la prochaine fois si vous êtes sage.

Par ailleurs, j'en profite pour vous annoncer un nouvel épisode sur le blog des Lyonnes de la SF consacré à Tonton, euh... à Paul Beorn : http://lyonsf.podomatic.com/entry/2011-01-23T02_09_12-08_00. Merci Flo !!

03/01/2011

La classe...

 

La classe, c'est d'être interviewé par le diabolique Jérôme Vincent, Dieu de l'Olympe - ou du moins de ActuSF.

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Vous avez déjà lu ou écouté une demi-douzaine d'interviews de Paul Beorn ? Oui, mais moi je vous le dis : celle-là est SPECIALE !! Si si, d'abord je mets un point d'honneur à essayer de ne pas toujours dire la même chose, et ensuite certaines questions nouvelles entraînent des réponses nouvelles. Mais allez, hum, je vous autorise à passer vite sur les autres.

Zut, quoi, c'est ActuSF, l'un des sites les plus importants du monde de la SFFF ! La classe, en somme ! (Comment ça, je l'ai déjà dit ?)

http://www.actusf.com/spip/article-10442.html