09/10/2012
Les derniers Parfaits
Chers lecteurs de ce blog, vous les héros, les derniers survivants qui venez encore céans après 7 mois sans nouvelles, je reviens ici aujourd'hui dans le but de faire de l’auto-promo éhontée.
Un nouveau roman de votre serviteur sortira en librairie le 20 novembre 2012 aux Editions Mnémos et il aura pour titre « Les derniers Parfaits ».
Je reprends ici ce qu’en dit l’éditeur en interview :
« Actusf : En octobre vous publiez Les derniers Parfaits de Paul Beorn. De quoi s’agit-il ? Que peux-tu nous dire sur ce roman ?
Frédéric et Nathalie Weil : Paul Beorn nous propose un roman que nous pouvons qualifier de fantasy dantesque ou boschienne, tant les images qu’il crée en nous nous rappellent certaines des images de ces deux créateurs du Moyen Âge.
Les derniers Parfaits entraîne le lecteur dans une course poursuite au travers d’un pays présentant des similitudes avec l’Occitanie cathare, ravagé par une guerre démoniaque menée par des fanatiques religieux. Nous sommes au plus près de Cristo, un prisonnier en fuite et enchaîné à des malheureux compagnons d’infortune et dont les destins vont basculer lors de ce voyage. Haletant, sombre, sans retour, Les derniers Parfaits compose un roman d’aventure, empli de péripéties, des bruits de la guerre médiévale, des cris des mourants mais aussi tissé d’images surprenantes comme ces tours-statues de lionnes datant d’un empire antique, disparu suite à une vaste catastrophe naturelle ou cette magie talismanique s’incarnant dans des bijoux reliques provenant de l’empire. Paul Beorn avec ce roman continue de tracer une voie originale et personnelle dans la fantasy, celle qui ne fait appel aux poncifs tolkienniens et donc anglo-saxons mais celle qui s’empare enfin du folklore si riche du passé médiéval de notre pays. »
Certains auront peut-être remarqué que Mnémos avait d’abord annoncé cette sortie pour octobre 2012, (plusieurs sites de vente en ligne affichaient la date du 4 octobre 2012).
Ce sera donc quelques semaines plus tard. Et non, je jure devant le Dieu des écrivains que je n’ai même pas rendu mes corrections en retard.
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